Publié dans Société

Nouvelle ministre de l’Enseignement supérieur - « Je suis là pour apporter des résultats et non vous décevoir »

Publié le lundi, 29 juillet 2019

Membre active du Syndicat des enseignants-chercheurs et chercheurs enseignants (SECES). Le Professeur Blanche Nirina Richard, nouvelle ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESUPRES), figure parmi ceux qui ont lutté pour avoir la validation du fameux « trois décrets » en faveur des enseignants, durant le régime transitoire. « Je suis là pour apporter des résultats et non vous décevoir », s’engage la ministre. Récemment nommée à ce poste, elle a tenu à rencontrer hier le Doyen de la Faculté de l’Economie, de Gestion et de Sociologie (EGS) à l’université d’Antananarivo, les représentants du SECES ainsi que ceux des étudiants et du personnel administratif et technique.Par ailleurs, le numéro Un du MESUPRES s’est rendue hier à la Faculté EGS pour une visite de courtoisie et pour dire au revoir à sa famille académique. « En tant qu’universitaires, nous appartenons à jamais à la même grande famille. Je suis appelée à une autre fonction, mais je serai toujours de votre côté.

Nous devons nous soutenir et nous entraider pour amener le vent du changement  au niveau de la qualité et du développement de notre domaine », avise la nouvelle ministre. « Nous serons de front avec vous », répliquent les enseignants, étudiants et personnels de l’EGS. Parmi les enseignants-chercheurs de cette Faculté d’Ankatso figurent ceux qui ont collaboré de près avec le Président Andry Rajoelina dans la conception de l’Initiative pour l’émergence de Madagascar, et qui s’apprêtent à concrétiser le défi. Le pacte a été fait : « Hiara-mientana, hiara-miasa, hiara-mandroso » (Agir ensemble, travailler ensemble et progresser ensemble).
 Recueillis par Patricia R.

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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